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Sur les territoires, une confiance solidaire

Dernière mise à jour : 3 mai 2020

Si, depuis des décennies, nous avons considéré que l’économie venait du haut pour retomber en pluie fine sur les entreprises puis sur les individus alors on est au premier degré de l’expression « marcher sur la tête ».

Il n’y a pas de nouveauté dans l’appropriation de l’économie par les échelons dits supérieurs. Si on regarde avec un peu de recul notre système, le modèle que nous reproduisons aujourd’hui est un système plus proche de la féodalité que de la libre entreprise.

Par-delà les débats sur la capacité que nous aurons collectivement à accepter les changements de principes, il y a, dès aujourd’hui, une modification opérationnelle à mener sur le terrain. Elle repose sur chacun d’entre nous, sur les entreprises et sur les organisations territoriales locales ou régionales.


 


Dans la relation privé-public, plus l’on est proche de la réalité quotidienne, de « l’endroit où l’on vit » et moins la relation est conflictuelle : ce n’est pas anormal que la fonction de maire soit la moins controversée et la moins politisée.

Comme l’économie repose son socle sur les PME territoriales, l’interconnexion entre le rôle public et l’intérêt privé doit aussi y trouver son assise.

 

Une économie part de l’individu, de son travail, de ses besoins et de son offre qui se cumulent à ceux des autres. C’est par les regroupements successifs que l’économie va s’amplifier jusqu’à l’échelle mondiale. Mais cela ne doit plus être l’inverse. La richesse part des individus, des entreprises des territoires. C’est la consolidation progressive qui fait les échelons suivants

 

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